Storify

Dans le cadre de mon cours Internet et relations publiques, je me suis créé un fil d’histoire Storify. Après m’être enregistrée, je ne savais pas trop à quoi ça servait. Comment commencer mon fil d’histoire? Qu’est-ce qu’un fil d’histoire de curation? Alors j’ai fait quelques recherches.

C’est quoi?

Tout d’abord j’ai consulté des tutoriels sur YouTube. Puis, pour un peu mieux comprendre, j’ai fait quelques recherches sur Google et j’ai compris que Storify est un outil de curation web qui pourra pleinement m’aider pour mon travail de session. Qu’est-ce que la curation web? C’est une activité sur le web qui consiste à trouver et identifier des sources de contenus à travers tout le web (médias sociaux, sites web, blogues) et à en trier les contenus intéressants et pertinents pour finalement les présenter sur un média distinct des sources d’origine. Ça facilite la tâche aux prochains lecteurs qui font des recherches sur le même sujet : trouver des sources pertinentes sans avoir besoin de parcourir une multitude de sources.

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En gros ! 

Donc Storify nous permet de faire de la curation sur n’importe quel sujet au travers de différents médias sociaux, blogues ou même dans le web au sens large pour ensuite récolter les sources que l’on trouve pertinentes. Par la suite, on peut commenter les différentes recherches regroupées. Il suffit de faire un simple glissé-déposé dans notre page brouillon et le tour est joué! Une fois que l’information est structurée à notre goût, on peut la partager sur le web.

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Donc pour mon travail de session, j’ai décidé de démarrer un fil d’histoire sur le sujet que j’ai choisi : le recrutement de l’État islamique sur les réseaux sociaux.

Je vous reviendrai avec mon travail complet dans quelques semaines!

https://storify.com/StephiChat

Le «street art» à Montréal

Bon, je sais qu’on est au début du mois de février; qu’il fait moins 30 degrés dehors; que ce n’est pas tellement tentant de sortir se promener dans les rues du centre-ville! MAIS, reste que ça me disait de faire un billet sur le magnifique «street art» de Montréal qu’on a la chance de pouvoir côtoyer dans son quotidien. De plus, les pièces seront encore là cet été pour ceux qui aiment prévoir des escapades en avance!

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(Une des mes oeuvres préférées situées sur la rue Saint-Laurent)

Je trouve que nous sommes énormément choyés d’avoir une ville aussi diversifiée en ce qui concerne le «street art». La Ville appuie et organise toutes sortes d’expositions et activités centrées sur l’art comme l’Art Attack, les Beaux Dégats et il  existe même des festivals comme le festival MURAL, grand gagnant du Prix du Tourisme de Montréal en 2013 et le festival Under Pressure. Certaines galeries sont aussi ouvertes exposant des œuvres d’artistes locaux et internationaux. Pour ceux qui ne veulent pas braver le froid hivernal et qui sont trop impatients pour attendre à cet été, allez faire un tour à la galerie Fresh Paint!

L’art donne à la Ville son identité et meuble le paysage de celle-ci depuis les années soixante! Montréal permet aux artistes d’exprimer leur passion à la vue de tous. De plus, dans plusieurs pars publics on peut retrouver des panneaux spécialement installés pour les apprentis artistes qui aiment exposer leurs créations à ciel ouvert!

L’art de rue a même la chance d’être immortalisé par Google! Un article du Devoir mentionne que Montréal est depuis l’an dernier la première ville canadienne et la SEULE  à avoir ses murales urbaines exposées dans la collection virtuelle de l’Institut culturel de Google.

Pour y jeter un bref coup d’oeil, je vous invite à visiter ces site et galleries :

http://www.station16gallery.com/

http://enmasse.info/

http://www.mtlblog.com/tag/street-art/

La face cachée derrière son écran

« Ces commentaires disgracieux, ils n’oseraient pas les balancer face à face avec la victime. C’est bien plus facile pour eux de dire : “Va chier, grosse conne” devant un écran. […] Il y a moins de filtres. Ils ont l’impression qu’ils peuvent s’en permettre un peu plus.» cite Valérie Brisson dans un article du journal Le soleil.

La cyberintimidation est un phénomène assez courant chez les jeunes et parfois sous-évalué puisque les cas sont souvent traités à l’interne. Récemment, le gouvernement fédéral a décidé d’adopter des lois concernant l’intimidation en ligne et j’approuve totalement cette initiative. Ce n’est pas parce que les mots sont écrits et non dits qu’ils ne peuvent pas blesser tout autant une personne.

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Que ce soit insulter une personne en ligne ou publier des images ou informations personnelles à l’insu de cette personne, il est impératif de dénoncer ce genre de comportement.

Selon le site du SPVM, 25 % des internautes dans leur jeunesse déclarent avoir reçu des propos haineux par l’entremise de courriels.

De plus, les proportions de jeunes ayant été victime d’harcèlement sexuel sont plus élevées sur Internet que dans la vraie vie.

Plusieurs mesures à prendre :

Si tu es victime de cyberintimidation ou connais une personne dans ton entourage qui l’est, il existe des moyens.

  1. Tout d’abord, conserve toutes les pages sur lesquelles la personne peut t’avoir intimidé. Il s’agit de preuves irréfutables.
  1. Il faut en parler avec quelqu’un de confiance.
  1. Signale l’acte à la page que tu as utilisé : Facebook, YouTube, Twitter, peu importe, normalement ces pages doivent avoir un bouton qui permet de signaler un comportement.
  1. Il existe plusieurs organismes pouvant donner des conseils tels que : Tel-Jeunes, Cyberaide.
  1. Si tu crains pour ta sécurité, contacte la police

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Restons vigilants par rapport à ce que nous publions sur Internet. Parfois, même si ce n’est pas notre intention, nos propos blessent. Et je ne tiens surtout pas à vous faire la morale, mais plutôt à vous conscientiser!

Sur ce, peace and love à tous!