Mon aventure dans le monde du blogue

La session tire à sa fin et mon exercice d’écrire des billets aussi! Je dois avouer avoir bien apprécié tenir un blogue. C’est libérant à certains moments, mais parfois un peu défiant lorsqu’on a le syndrome de la page blanche. En parlant du syndrome de la page blanche, ce n’est pas vraiment évident de toujours avoir une idée de sujet.

 Quelques inspirations

L’inspiration que j’ai eue pour écrire les billets de mon blogue m’est venue du cours. Elle m’est aussi venue de l’univers numérique dans lequel on vit de plus en plus. Et bien sûr, Montréal, que je côtoie tous les jours. Je dois vous dire que parfois je n’écrivais pas pour 2 semaines complètes puisque j’attendais LE sujet parfait qui allait m’inspirer.

Et vous?

Je vous conseille fortement de tenir un blogue au moins une fois dans votre vie! C’est sympa de savoir que d’autres peuvent vous lire et peuvent partager avec vous. De plus, ça vous permet de forger une opinion sur des sujets qui vous intéressent et de pousser vos recherches en profondeur.

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Plusieurs Québécois sont devenus influenceurs et ont gagné des prix à force de tenir un blogue et de se forger un lectorat. Prenez comme exemple Michelle Blanc, qui est devenue une personne-ressource dans le domaine veille stratégique de gestion et marketing internet. Son blogue est consulté par un grand nombre de Québécois.

Pour conclure cette expérience, j’espère que vous avez eu du plaisir à me lire et laissez-moi vos commentaires!

Acheter «online»

Qui n’a jamais encore acheté quoi que ce soit sur Internet pour le recevoir directement devant sa porte? Personnellement, je ne peux plus me passer du magasinage en ligne. Non seulement je n’ai pas beaucoup de temps pour aller me promener dans les boutiques, je n’aime pas l’achalandage non plus. De plus, je trouve ça génial d’ouvrir ma porte le matin et d’y trouver un paquet dans la boite aux lettres.

 

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En expansion 

Depuis quelques années, le commerce en ligne a pris beaucoup d’expansion. À un point tel que les boutiques et les grands magasins ont dû s’y adapter afin d’ouvrir une section transactionnelle sur leurs sites Internet. Selon Cefrio, la moitié des Québécois ont acheté au moins une fois en ligne dans l’année 2014. 9 internautes sur 10 consulteraient les sites Internet pour des produits avant d’aller les acheter en boutique ou en ligne. Il est donc primordial pour un commerce de se doter d’une stratégie web ainsi que de permettre à ses clients d’acheter en ligne.

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Commerces québécois 

Malheureusement, en faisant quelques recherches, j’ai découvert que les commerces québécois sont moins enclins à l’adhésion d’un site transactionnel. C’est dommage parce qu’ils ne se positionnent pas sur le même pied d’égalité face à la concurrence internationale.

En plus de sauver du temps et des déplacements, magasiner en ligne permet aussi de pouvoir consulter le «feedback» des autres internautes par rapport à un produit ou une qualité de vêtement. On peut aussi consulter les commentaires pour les délais de livraison et pour le niveau de confiance du site transactionnel.

Bref, c’est une option à prendre en considération lorsque l’on possède un commerce. Allons de l’avant!

Événements annuels montréalais

Étant donné que mes billets portent sur le numérique et sur l’école, j’ai décidé de faire un second billet sur la chance que nous avons d’habiter à Montréal avec son côté artistique et festif. Effectivement, notre Ville bien aimée nous offre la possibilité de participer à de nombreux festivals tout au long de l’année : qu’il fasse 30 ou -30 degrés, on n’a pas le temps de s’emmerder. Alors j’ai pour vous ici, une petite liste de quelques festivals intéressants à ajouter à votre calendrier annuel.

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FrancoFolies 9 juin au 18 juin 2016

Les FrancoFolies mettent en relief la musique francophone depuis 1989 à Montréal. Avec près de 70 spectacles en salle et 180 concerts extérieurs gratuits, les Franco vont vous permettre de découvrir la musique d’artistes provenant d’une douzaine de pays.

 Festival de Jazz 29 juin au 9 juillet 2016

Pour les amateurs de musique jazz, ce festival offre la venue de plus de 3 000 musiciens pour un millier de concerts au 2 tiers gratuits. Aussi en salle ou en plein air, ce festival a une renommée internationale.

Mtl Bar et Bouffe du 7 au 16 avril 2016

Vous avez encore quelques jours pour profiter de cet événement qui réunit 17 établissements à Montréal. Cette 2e édition saura vous combler au niveau d’accords surprenants entre boissons et bouchées!

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Malheureusement, les dates ne sont pas encore disponibles cette année pour cet événement hors du commun. L’an dernier ce fut un fabuleux succès avec plus de 23 000 huîtres dégustées ainsi que de grosses compétitions ont eu lieu au bassin Peel : compétitions d’ouverture d’huîtres, compétitions de mixologie et un concours de plats.

Poutine Week

Cette année, celle-ci a eu lieu de 1er au 7 février. Mettant en vedette nos restaurants préférés, ceux-ci doivent concevoir une poutine extraordinaire afin de gagner le concours de la meilleure poutine en ville.

Montréal en lumières

À chaque hiver, Montréal en Lumières offre une panoplie d’activités à faire dans le quartier des spectacles. Avec musique, bouffe gastronomique, lumières et site extérieur gratuit animé, vous avez tout pour vous réchauffer en plein froid hivernal.

Et bien sûr, j’en passe : Festival Juste Pour Rire, IglooFest, Fête des Neiges…

VIVE MONTRÉAL!

 

Agence Ka – Notre expérience

Dans le cadre du cours Plans de communication auquel je me suis inscrite cette session, nous avions comme mandat de faire un plan de communication pour une entreprise de notre choix. Mon équipe a découvert Agence Ka, fondée par Katia Dion. Agence Ka est agence de vente spécialisée dans la représentation, la promotion et la diffusion d’une quinzaine de designers canadiens. Elle se décrit comme étant l’intermédiaire idéale entre le créateur et le vendeur.

 

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Lors de notre rencontre avec Katia, elle nous a annoncé que notre plan de communication sera étudié avec soin et peut-être même appliqué dans son entreprise. C’est une opportunité à saisir en tant qu’étudiants de produire un rapport final réel et non fictif pour une fois ! Katia ayant un budget restreint offre la chance aux étudiants de pouvoir l’aider tant que possible avec son entreprise pour pouvoir grandir encore plus. Donc, notre équipe avions mis en place un plan de communication ainsi qu’un plan stratégique pour elle. Une autre équipe de l’Université de Sherbrooke est même présentement en train de mettre en place un plan marketing.

J’ai personnellement beaucoup apprécié l’expérience puisque Katia nous a plongées dans l’industrie de la mode canadienne. Elle nous a confié ses valeurs et ses objectifs. Nous avons eu la chance de travailler avec la propriétaire d’une PME montréalaise et de savoir que nos recommandations seront prises en considération. Il faut dire que c’était un projet qui demandait beaucoup de réflexion et si nous avions eu plus de temps pour le faire, nous aurions pu pousser cette réflexion plus en profondeur.

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Bref, je vous suggère d’aller faire un tour sur le site de son agence ainsi que sur sa page Facebook et son compte Instagram. Le dynamisme de Katia est hors pair et sa cause est intéressante : vendre Canadien pour les Canadiennes!

Tenir un blogue dans un contexte d’affaires?

Il y a deux ans, dans un de mes cours de mon programme de communication, notre professeur nous a fait lire le livre Pourquoi bloguer dans un contexte d’affaires? Puisque pour ce cours-ci j’ai créé un blogue, je me suis dit, pourquoi pas vous donner les bonnes raisons d’avoir un blogue lorsqu’on est en affaires?

Dix blogueurs 

Ce livre (super intéressant en passant) est composé de 10 chapitres qui sont écrits par 10 auteurs distincts, ayant tous une influence dans le domaine de la communication.

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Tout d’abord, il est bien de tenir un blogue pour influencer son public. C’est un rendez-vous qu’on donne à celui-ci pour nous lire et ça nous donne l’autorité d’influencer l’opinion publique sur un sujet. Ce n’est pas simplement l’action d’écrire pour rapporter des faits, mais bien de se positionner sur ces faits!

Il est bien de tenir un blogue pour vendre son produit ou son service. De plus, il vous permettra d’informer votre public des dernières tendances et de l’actualité. Votre blogue peut aussi vous permettre d’en apprendre plus : en reprenant l’information et en construisant immédiatement avec par la suite, on apprend et on retient. Il vous sert à vous définir en tant qu’auteur : votre ton, votre personnalité, votre style d’écriture.

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Quoi de mieux qu’un blogue pour faire du réseautage? Les personnes qui vous liront pourront vous contacter, laisser des commentaires sur vos billets et de plus, votre contenu sera indexé dans les principaux moteurs de recherche donc accessibles pour tous.

Bien sûr, toutes ces raisons sont bonnes pour bloguer même si on ne se trouve pas en contexte d’affaires. Ça peut être tout simplement pour le plaisir d’écrire!

Des conseils 

J’ai quelques conseils de plus à vous donner si vous souhaitez tenir un blogue :

  1. Mettez beaucoup d’hyperliens
  2. Quelques images rendront votre blogue plus attirant pour l’œil
  3. Usez d’humour!
  4. Laissez des commentaires sur d’autres blogues
  5. Répondez à vos lecteurs
  6. Écrivez fréquemment.

 

 

Publication virale – une recette?

Avez-vous vu récemment toutes les publications sur les réseaux sociaux avec un animal comparé à de la bouffe? Ou même dans certains cas, comparé à un objet? Personnellement, je les trouve hilarantes! Chaque jour je souhaite en voir une nouvelle apparaître.

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Depuis quelques semaines, ces photos font le tour des réseaux sociaux avec quelques milliers de partages. Comment ces publications font-elles pour devenir virales? Y’a-t-il une recette secrète ou c’est tout simplement le hasard qui fait en sorte que celle-ci fera le tour du web?

Oui, il existe une recette secrète! Mais, c’est aussi une question de hasard.Une publication, pour qu’elle devienne virale, doit être accrochante

Selon Wix, il existe 10 secrets pour qu’une publication Facebook soit partagée en gros volume.

  1. Utiliser les émotions pour raconter une histoire, humaniser la publication.
  2. Aborder un sujet sous un angle second avec différentes perspectives.
  3. Rebondir sur l’actualité : être avant-gardiste
  4. User de sarcasme humoristique pour accrocher son public
  5. Ne pas inciter à partager ou à aimer, trouver une façon différente de provoquer l’engagement
  6. Citer des citations appréciées
  7. Dégager des faits intéressants et surprenants
  8. Piquer la curiosité
  9. Organiser des listes sympathiques comme «10 choses que les gars disent que les filles n’aiment pas»
  10. Attirer l’œil avec des visuels captivants.

Bien sûr, ce n’est pas la seule recette qui existe et ce n’est pas non plus la clé du succès pour qu’une publication devienne virale.

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Sur mon newsfeed sur Facebook, je peux vous confirmer que les publications qui ont le plus de mentions j’aime et de partage sont celles qui usent de l’humour et de sarcasme!

Pour ceux qui souhaitent avoir un autre point de vue que celui de Wix, voici d’autres recettes afin de devenir viral sur les médias sociaux!

http://ludismedia.com/la-recette-en-7-points-pour-un-marketing-viral/

https://www.olivierlambert.ca/marketing-viral-5-ingredients

 

Storify

Dans le cadre de mon cours Internet et relations publiques, je me suis créé un fil d’histoire Storify. Après m’être enregistrée, je ne savais pas trop à quoi ça servait. Comment commencer mon fil d’histoire? Qu’est-ce qu’un fil d’histoire de curation? Alors j’ai fait quelques recherches.

C’est quoi?

Tout d’abord j’ai consulté des tutoriels sur YouTube. Puis, pour un peu mieux comprendre, j’ai fait quelques recherches sur Google et j’ai compris que Storify est un outil de curation web qui pourra pleinement m’aider pour mon travail de session. Qu’est-ce que la curation web? C’est une activité sur le web qui consiste à trouver et identifier des sources de contenus à travers tout le web (médias sociaux, sites web, blogues) et à en trier les contenus intéressants et pertinents pour finalement les présenter sur un média distinct des sources d’origine. Ça facilite la tâche aux prochains lecteurs qui font des recherches sur le même sujet : trouver des sources pertinentes sans avoir besoin de parcourir une multitude de sources.

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En gros ! 

Donc Storify nous permet de faire de la curation sur n’importe quel sujet au travers de différents médias sociaux, blogues ou même dans le web au sens large pour ensuite récolter les sources que l’on trouve pertinentes. Par la suite, on peut commenter les différentes recherches regroupées. Il suffit de faire un simple glissé-déposé dans notre page brouillon et le tour est joué! Une fois que l’information est structurée à notre goût, on peut la partager sur le web.

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Donc pour mon travail de session, j’ai décidé de démarrer un fil d’histoire sur le sujet que j’ai choisi : le recrutement de l’État islamique sur les réseaux sociaux.

Je vous reviendrai avec mon travail complet dans quelques semaines!

https://storify.com/StephiChat

Le «street art» à Montréal

Bon, je sais qu’on est au début du mois de février; qu’il fait moins 30 degrés dehors; que ce n’est pas tellement tentant de sortir se promener dans les rues du centre-ville! MAIS, reste que ça me disait de faire un billet sur le magnifique «street art» de Montréal qu’on a la chance de pouvoir côtoyer dans son quotidien. De plus, les pièces seront encore là cet été pour ceux qui aiment prévoir des escapades en avance!

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(Une des mes oeuvres préférées situées sur la rue Saint-Laurent)

Je trouve que nous sommes énormément choyés d’avoir une ville aussi diversifiée en ce qui concerne le «street art». La Ville appuie et organise toutes sortes d’expositions et activités centrées sur l’art comme l’Art Attack, les Beaux Dégats et il  existe même des festivals comme le festival MURAL, grand gagnant du Prix du Tourisme de Montréal en 2013 et le festival Under Pressure. Certaines galeries sont aussi ouvertes exposant des œuvres d’artistes locaux et internationaux. Pour ceux qui ne veulent pas braver le froid hivernal et qui sont trop impatients pour attendre à cet été, allez faire un tour à la galerie Fresh Paint!

L’art donne à la Ville son identité et meuble le paysage de celle-ci depuis les années soixante! Montréal permet aux artistes d’exprimer leur passion à la vue de tous. De plus, dans plusieurs pars publics on peut retrouver des panneaux spécialement installés pour les apprentis artistes qui aiment exposer leurs créations à ciel ouvert!

L’art de rue a même la chance d’être immortalisé par Google! Un article du Devoir mentionne que Montréal est depuis l’an dernier la première ville canadienne et la SEULE  à avoir ses murales urbaines exposées dans la collection virtuelle de l’Institut culturel de Google.

Pour y jeter un bref coup d’oeil, je vous invite à visiter ces site et galleries :

http://www.station16gallery.com/

http://enmasse.info/

http://www.mtlblog.com/tag/street-art/

La face cachée derrière son écran

« Ces commentaires disgracieux, ils n’oseraient pas les balancer face à face avec la victime. C’est bien plus facile pour eux de dire : “Va chier, grosse conne” devant un écran. […] Il y a moins de filtres. Ils ont l’impression qu’ils peuvent s’en permettre un peu plus.» cite Valérie Brisson dans un article du journal Le soleil.

La cyberintimidation est un phénomène assez courant chez les jeunes et parfois sous-évalué puisque les cas sont souvent traités à l’interne. Récemment, le gouvernement fédéral a décidé d’adopter des lois concernant l’intimidation en ligne et j’approuve totalement cette initiative. Ce n’est pas parce que les mots sont écrits et non dits qu’ils ne peuvent pas blesser tout autant une personne.

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Que ce soit insulter une personne en ligne ou publier des images ou informations personnelles à l’insu de cette personne, il est impératif de dénoncer ce genre de comportement.

Selon le site du SPVM, 25 % des internautes dans leur jeunesse déclarent avoir reçu des propos haineux par l’entremise de courriels.

De plus, les proportions de jeunes ayant été victime d’harcèlement sexuel sont plus élevées sur Internet que dans la vraie vie.

Plusieurs mesures à prendre :

Si tu es victime de cyberintimidation ou connais une personne dans ton entourage qui l’est, il existe des moyens.

  1. Tout d’abord, conserve toutes les pages sur lesquelles la personne peut t’avoir intimidé. Il s’agit de preuves irréfutables.
  1. Il faut en parler avec quelqu’un de confiance.
  1. Signale l’acte à la page que tu as utilisé : Facebook, YouTube, Twitter, peu importe, normalement ces pages doivent avoir un bouton qui permet de signaler un comportement.
  1. Il existe plusieurs organismes pouvant donner des conseils tels que : Tel-Jeunes, Cyberaide.
  1. Si tu crains pour ta sécurité, contacte la police

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Restons vigilants par rapport à ce que nous publions sur Internet. Parfois, même si ce n’est pas notre intention, nos propos blessent. Et je ne tiens surtout pas à vous faire la morale, mais plutôt à vous conscientiser!

Sur ce, peace and love à tous!

Gestionnaire de communauté ?

En septembre 2015, j’ai eu pour la première fois un contrat dans mon domaine d’étude. J’étais gestionnaire de communauté pour la Ville de Montréal ainsi qu’assistante-édimestre. Un gestionnaire de communauté, c’est quelqu’un qui gère les réseaux sociaux d’une entreprise. C’est le genre de travail qui depuis peu, s’apprenait sur le tas. Récemment, quelques formations sont disponibles ainsi que plusieurs ressources web qui nous permettent de mieux comprendre le métier ainsi que des astuces pour le maitriser.

Avoir un gestionnaire de communauté au sein de son entreprise est sans aucun doute nécessaire de nos jours. La présence sur les réseaux sociaux nous permet de joindre la clientèle facilement. Au Québec seulement, 94,4% des internautes en 2011 âgés de 18 à 34 ans sont présents sur les réseaux sociaux. Gérer une page pour son organisation permet de créer des relations et des interactions avec sa clientèle.

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Mon expérience à la Ville m’a permis de conclure que ce n’est pas un métier toujours facile. Surtout dans ce cas : ce n’est pas une clientèle qu’on gère, mais les citoyens. Et ces citoyens ne sont pas toujours contents. Je perdais souvent patience lorsque j’arrivais à 8h30 le matin et que j’ouvrais le Facebook de la Ville pour ne voir seulement que des insultes de la part des citoyens. Bien sûr, il faut garder en tête que ce n’est jamais personnel. Vient avec tout ça la fameuse gestion de crise! Et la crise, ça peut survenir à n’importe quel moment (on s’en reparlera du déversement des eaux usées : j’en faisais des cauchemars).

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Ce que j’ai retenu le plus dans tout ça c’est qu’il faut garder en tête que sur les réseaux sociaux, les gens sont libres de s’exprimer comme ils veulent. Et parfois, ce n’est pas du tout une mauvaise chose. Comme le dit Jean-Philippe Maxime dans l’article d’Urbania Discussion avec passif-agressif Ricardo : « Pourquoi les gérer? Il est facile de faire de l’éducation plutôt que de la gestion. Je pense que les marques ont trop tendance à gérer une identité. Elles veulent s’assurer que le message soit toujours positif, alors que la communauté web, ce n’est pas ça du tout. Il est tout à fait possible d’en faire une activité d’échange réel. On peut répondre avec une question pour faire prendre conscience à la personne de ce qu’elle vient de dire. »

En passant, si vous avez le temps de lire l’article, il est super intéressant! Et pour ceux qui ne connaissent pas la page Facebook Passif-agressif Ricardo, allez la consulter 😉

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